Foire aux questions
Fitrer la FAQ
- Un guide méthodologique et des tutoriels pratiques
- Un argumentaire annuel autour de la thématique choisie
- Un kit de communication (affiches, bannières, logos, vidéos, etc.)
- Des exemples d’actions inspirantes issues d’autres territoires
En tant que membre du collectif national des SISM, le Centre national de ressources et d’appui aux CLSM s’engage aux côtés des CLSM autour de valeurs partagées de citoyenneté, de lutte contre les stigmatisations et de promotion de la santé mentale. Il joue un rôle d’interface entre le collectif national et les CLSM, en accompagnant ces derniers dans la mise en œuvre des SISM sur leurs territoires et en valorisant leurs initiatives. Il contribue ainsi à renforcer une culture commune et à favoriser la circulation des outils et des pratiques entre les échelles locale et nationale.
- En tant que citoyen, chacun peut assister gratuitement aux événements organisés dans son territoire.
- En tant que structure (association, établissement, institution, collectif), il est possible de proposer une action en respectant le cadre éthique des SISM, puis de l’inscrire sur le site officiel. Les CLSM accompagnent souvent ce processus et facilitent la mise en réseau des acteurs.
Chaque année, le thème est défini par le collectif national des SISM, qui réunit plus de 25 organismes nationaux. Toutefois, les CLSM et les acteurs de terrain sont invités à faire remonter leurs propositions de thématiques afin d’alimenter la réflexion collective.
Les CLSM sont des relais essentiels des SISM : dans de nombreux territoires, ce sont eux qui animent les collectifs locaux SISM, en mobilisant leurs partenaires et en coordonnant l’organisation des événements. Cette synergie permet de renforcer la coopération locale et de faire vivre la santé mentale au plus près des citoyens.
Non. Il ou elle peut désigner un agent référent pour les instances de travail. Mais un portage politique clair reste indispensable pour donner de la légitimité et impulser les décisions stratégiques.
Non. L’implication peut venir d’un ou d’une adjointe, d’un conseiller ou d’une vice-présidente d’intercommunalité. Ce qui compte, c’est d’avoir une légitimité politique locale et la volonté de porter la démarche.
Non. Un CLSM peut être initié à partir d’une volonté politique locale, mais pour fonctionner pleinement, il doit associer les acteurs de la psychiatrie, les personnes concernées et les proches aidants. C’est une démarche collective à construire sur le territoire.
Pas officiellement, mais elle traverse de nombreuses compétences des collectivités : logement, urbanisme, jeunesse, culture, sport, sécurité… Intégrer la santé mentale dans ces politiques, c’est agir concrètement pour le bien-être de la population.